Entre terre et mer Le Blog de Michaël Quernez

A la rencontre des acteurs économiques du Finistère avec Pierre Maille

Encourager l’innovation et l’entreprenariat pour créer de la richesse, améliorer l’attractivité du Finistère sont au cœur des politiques ambitieuses et volontaristes que nous menons au Conseil général pour contribuer au développement économique et favoriser l’emploi sur notre territoire.

Dans un contexte de crise économique qui affecte durement nombre de Finistériens, agir pour préserver les emplois d’aujourd’hui et préparer ceux de demain est donc d’autant plus important.

Nous le faisons en lien avec l’ensemble des acteurs du monde économique pour adapter nos dispositifs d’aide et ainsi mieux répondre à leurs besoins, en maintenant notre haut niveau d’investissement pour optimiser nos infrastructures notamment.

Dans ce cadre, de nombreuses visites de terrain sont régulièrement organisées afin de mieux connaître et valoriser les entreprises et les acteurs économiques de notre département.

C’est ainsi qu'avec mon Président et mes collègues du Conseil général nous sommes allés mercredi dernier à la rencontre d'entrepreneurs qui créent, innovent dans les domaines de :

Ici chez Ufast et Yslab.

• l’insertion par l’emploi, en visitant l’association d’insertion professionnelle Prélude(Quimper) qui favorise l’accès ou le retour à l’emploi par l’activité économique,
• la mer, avec le laboratoire de recherche en biotechnologies Yslab (Quimper), l’entreprise Lessonia (Saint-Thonan) spécialisée dans la transformation d’algues pour les cosmétiques, le chantier naval UFAST (Quimper) qui fabrique des embarcations en matériaux composites et aluminium,
• les technologies de l’information et de la communication, en se rendant sur le site de Satimo (Brest), une entreprise qui conçoit des antennes de tous types et de systèmes de mesures pour la téléphonie cellulaire,
• l’agroalimentaire, avec Tilly Sabco, (Guerlesquin) acteur de la filière avicole au grand export.

Oui le Finistère est un département riche de ses femmes et de ses hommes qui se battent tous les jours, parfois dans l'adversité, pour créer de la richesse et des emplois.

 

Tourisme et urbanisme? Pour un Finistère attractif

Le tourisme est une activité économique majeure.

Et notre département est une grande destination toutistique, la 7ème de France.

Avec près de 22 000 EQTP en haute saison.

Mais dans un contexte de forte concurrence territoriale et d'érosion progressive et continue des clientèles, il nous faut poursuivre nos efforts pour que le Finistère demeure attractif.

En préservant et en mettant en valeur nos paysages, la richesse des patrimoines, en travaillant sur l'accessibilité et des moyens de transports adaptés, les infrastructures, les équipements, et la capacité et la qualification des hébergements notamment.

Pour ce faire le tourisme doit trouver davantage sa place en amont dans la préparation des documents de planification et d'urbanisme.

Il est en effet désormais nécessaire de proposer des approches globales de territoires, intégrant pleinement les conditions de la mise en place de dynamiques touristiques durables.

C’est l’objectif de Finistère tourisme Agence de Développement Touristique et du présent guide technique.

Ce guide que nous avons présenté hier à la presse doit ainsi aider les acteurs locaux et territoriaux à identifier les enjeux en matière de tourisme et d’urbanisme.

Il propose aussi des témoignages qui illustrent des savoir-faire et des expériences réussies dans ce domaine.

Bonne découverte. En savoir plus

Favoriser l'insertion en prenant en compte les questions de santé : avec l'ARS

C'était le 25 avril dernier à Saint-Brieuc.

Mon collègue Marc Labbé, Vice-président en charge de l' Enfance-Famille-Jeunesse, aux cotés des 3 autres départements bretons, signait une convention de partenariat avec l’Agence Régionale de Santé pour une durée de 5 ans.

Cette initiative des départements bretons est, à ce jour, unique en France.

Elle devrait permettre de faciliter le dialogue avec cette dernière afin de mieux structurer le partenariat avec l’Etat. Et en l'espèce nous revenons de loin...

Cette convention définit ainsi le champ d’action entre les Départements et l’Agence Régionale de Santé concernant les politiques sociales et médico-sociales (personnes âgées, personnes handicapées, prévention, protection maternelle et infantile, santé de l’enfant et de l’adolescent, insertion).

L’objectif de la convention a donc pour but d’améliorer la coordination des interventions de chacune des institutions auprès de la population afin que des réponses adaptées leur soient apportées.

Plus précisément, concernant les politiques d'insertion, il s'agit de prendre en compte les difficultés de plus en plus importantes d'accès aux soins des personnes en fragilité. Un frein majeur à leur accès vers l'emploi.

Des relations que nous allons concrétiser en proximité par la mise en oeuvre de nos pactes territoriaux d'insertion.

Une convention dont je me félicite puisque cette volonté de mobiliser l'ARS sur les questions d'insertion est née en Finistère et relayée par nos collègues des trois autres départements.  

Le Conseil général s'investit pour l'emploi : découvrez le dernier Penn Ar Bed

Le Conseil général s'investit pour l'emploi : mon interview

3 questions à Michaël Quernez, Vice-président du Conseil général, président de la commission insertion et économie.

Quels sont les atouts du Finistère pour la création d’entreprises et leur développement ?

Les Finistériens. Leur esprit d’entreprendre. Cette volonté inébranlable de créer de la richesse. Cette capacité à parcourir le monde pour apprendre des autres. Pour faire de cette terre un pays où il fait bon vivre et bien vivre. Cette volonté de faire ensemble aussi. De travailler en réseau. Des acteurs économiques qui peuvent compter sur le savoir-faire des chambres consulaires, des technopoles, centres de recherche, universités… Qui bénéficient de la qualité de nos infrastructures : un réseau routier excellent, plusieurs aéroports, d’importantes liaisons maritimes, même s’il nous faut poursuivre nos efforts d’équipement. Je pense bien entendu au projet Bretagne à Grande Vitesse avec à terme Quimper et Brest à près de trois heures de Paris et le très haut débit, outil incontournable. Et puis nous devons dire haut et fort que le Finistère est une terre d’innovation économique et sociale. La marque « Tout commence en Finistère » représente la fierté de ce que nous sommes, d’être un territoire accueillant et qui doit être de plus en plus attractif.

Comment accompagne-t-il la mutation des filières économiques ?

L’agriculture et l’agroalimentaire sont à nouveau confrontées à des crises importantes. Les productions avicoles, porcines, laitières, légumières sont touchées de plein fouet. Le Conseil général, dans ce contexte, est un des acteurs publics qui peut concourir à leur soutien, à leur restructuration. Mais chacun sait que toute l’énergie des pouvoirs publics ne remplacera jamais la nécessité des acteurs de se fédérer, à construire une véritable filière, du champ à l’assiette. Aujourd’hui chacun se renvoie la responsabilité de la situation, dont les premières victimes sont les agriculteurs. Une autre chose est sûre : l’Europe doit mettre un terme aux concurrences déloyales notamment sociales. Mais heureusement que dans ces secteurs l’innovation est aussi quotidienne. Prenez les pôles de compétitivité Mer et Valorial dont les projets sont aujourd’hui créateurs d’emplois et de valeur ajoutée. Et puis nous préparons l’avenir en soutenant le développement des projets liés aux énergies marines, à l’économie décarbonée, aux réseaux intelligents, aux biotechnologies vertes et bleues, et en accompagnant les PME et les TPE dans leur accès aux crédits bancaires au travers des plateformes d’initiatives locales.

Comment le Conseil général soutient-il les emplois d’aujourd’hui et de demain ?

On assiste à une fragilisation continue du système productif et à une dégradation très forte de l’emploi. Si la politique de l’accès à l'emploi ne relève pas du Conseil général mais de l’État et de Pôle emploi, l’insertion des publics en difficulté, bénéficiaires des minimas sociaux, relève bien de notre responsabilité. Grâce aux « équipes emploi » notamment, le Conseil général prospecte des offres d’emplois auprès des acteurs économiques. En 2012, nous avons permis la signature de 454 contrats de travail à durée déterminée, et 183 en CDI. Nous sollicitons également les entreprises, dans le cadre de l’activation des clauses d’insertion dans nos marchés publics, et réservons une part des heures de travail obtenues en faveur des publics prioritaires. D’autres dispositifs existent comme les contrats aidés, un millier par an, ou les chantiers et ateliers d’insertion. Mais nous le savons, la clef d’un retour vers l’emploi durable passe par la formation. C’est pourquoi nous travaillons avec le Conseil régional de Bretagne, dont c’est la responsabilité.

 

Tribune du groupe" Finistère à Gauche, Finistère pour tous" : favoriser le développement économique, c’est agir pour l’emploi

Dans une période de crise qui affecte durement nombre de nos concitoyens, le Président de la République, lors de son entretien télévisé le 28 mars dernier, a réaffirmé que son action s’articule autour d’une priorité, l’emploi, en suivant le cap de la croissance, facteur essentiel de l’amélioration du marché du travail dans notre pays.

Pour ce faire, de nouveaux dispositifs ont été créés pour améliorer la compétitivité de la France, tels le crédit d’impôt « compétitivité emploi », la banque publique d’investissement, l’accord signé par les partenaires sociaux « pour un nouveau modèle économique et social au service de la compétitivité des entreprises et de la sécurisation de l’emploi »les contrats de génération, les contrats d’avenir, et assurer ainsi le redressement de la Nation.

Atteindre cet objectif nécessite l’effort et la participation de tous. Aussi, bien conscients des situations difficiles que subissent nombre d’entreprises et de nos concitoyens en Finistère, les Conseillers généraux du groupe « Finistère à gauche, Finistère pour tous » sont déterminés à s’inscrire dans la dynamique initiée par le Président de la République et à agir, en lien avec les acteurs économiques départementaux, pour encourager le développement économique, améliorer l’attractivité du Finistère et contribuer ainsi directement à favoriser l’emploi sur notre territoire.

Ainsi, le Conseil général agit pour soutenir et moderniser les secteurs structurants de notre économie, pour que le Finistère demeure un territoire de production dans les filières agricoles et agroalimentaires, la pêche, le nautisme et le tourisme. Nous intervenons également dans les pôles de compétitivité, mer, image et réseaux, valorial, qui constituent des gisements d’emplois pour l’avenir, et accompagnons la recherche et l’innovation en Finistère. Ainsi, pour développer une dynamique économique finistérienne autour de nos atouts, notamment l’esprit d’entreprendre et d’innovation des acteurs de notre département, le Conseil général engage 22 millions d’euros cette année.

Cet effort est complété par nos nombreux programmes pour l’optimisation des infrastructures départementales, comme les ports, les aéroports, les lignes ferroviaires qui permettent, à l’image des projets Bretagne à Grande Vitesse pour que Brest et Quimper soient à 3 heures de Paris en train, ou Bretagne Très Haut Débit, de renforcer l’accessibilité du Finistère. Le Conseil général investit en 2013, pour ces éléments essentiels à l’attractivité de notre territoire, 23 millions d’euros.

Cette capacité à faire venir les entrepreneurs en Finistère, nous la développons également à travers notre haut niveau d’investissement, que nous avons porté en dépit de la crise à 152 millions d’euros grâce à notre gestion saine et rigoureuse, pour doper notre économie.

Le Conseil général agit ainsi pour maintenir et développer la vitalité, le dynamisme et l’innovation en Finistère et, en lien avec l’ensemble des acteurs départementaux, contribue à favoriser l’emploi par son action ambitieuse et volontariste.

Avec Benoit Hamon et Richard Ferrand en centre-Finistère : pour soutenir les acteurs de l'économie sociale et solidaire

C'était hier.

A l'invitation de Richard Ferrand, une visite ministérielle de Benoit Hamon consacrée notamment à l'économie sociale et solidaire*.

Une visite à laquelle j'ai tenu à participer tant il me semble que le Conseil général et l'économie sociale et solidaire partagent les mêmes valeurs.

En quelques mots.

La solidarité envers les hommes et les territoires.

Que l'humain doit être au coeur de l'économie et que le développement économique doit contribuer à un développement territorial équilibré et solidaire.

Une visite en Finistère, l'un des berceau du mouvement coopératif et mutualiste, qui est aujourd'hui le 8éme département de France avec 15% de l'emploi départemental.

Soit 2900 entreprises, 30 000 salariés, et 930 millions de masse salariale.

Une économie "autrement" qui au plan national, sur les dix dernières années, a créé 440 000 emplois nouveaux soit une croissance de 23%, qu'en l'ensemble de l'emploi privé n'augmentait que de 7%.

Une économie sociale et solidaire qui a besoin d'être reconnue et soutenue.

D'où la volonté exprimée par le Gouvernement de proposer d’ici l’été une loi-cadre visant à favoriser le développement de ces modèles économiques. 

Première étape au Garage Solidaire de Carhaix : accueilli par son Président, Yves Morvan, le Ministre accompagné de nombreux élus régionaux et départementaux** a pu ainsi mesurer la réussite économique et sociale de ce chantier d’insertion créé en novembre 2007 et soutenu par le Conseil général.

Puis trois  SCOP, APROBOIS (Carhaix), MCA (Plonévez-du-Faou) et Elorn Plomberie Chauffage (Plougastel-Daoulas) nous ont ouvert leurs portes.

J'ai pour ma part pu découvrir les deux premières.

La scierie Aprobois, SCOP créée en 1988 et dirigée par Désiré puis Karine Mahé, emploie 80 salariés dont 80 % sont des personnes handicapées. Première scierie finistérienne, son activité principale est la fabrication de palettes et de caisses, ce qui représente l’utilisation de 40 000 m³ de bois dans une année.

La SCOP M.C.A.-Menuiserie Charpente Agencement- est une coopérative artisanale de la filière bois spécialisée dans la construction de maisons à ossature bois. Forte de ses 50 salariés, elle est, depuis 1978, l’un des acteurs majeurs régionaux de ce secteur d’activité et est engagée en faveur de la transition énergétique. Elle est dirigée par Alain Guenver.

Une journée qui a permis également au Ministre en charge de la Consommation d'évoquer à de nombreuses reprises le projet de loi auquel il travaille actuellement avec Stéphane Le Foll, Ministre de l'agriculture, et consacré aux relations contractuelles entre les agriculteurs, les industries de l'agro-alimentaire et la Grande distribution, qui devrait en particulier permettre de prendre en compte la volatilité du coût des matières premières.

Loi qui revisitera en profondeur nous l'espérons les dispositions de la  loi LME. Notre collègue Annick Le Loch présente hier y travaille en tout cas avec détermination.

* L’économie sociale et solidaire regroupe un ensemble de coopératives, mutuelles, associations… privilégiant des modes de gouvernance impliquant chaque salarié, une gestion démocratique et participative, une non-lucrativité individuelle, des principes de solidarités entre les acteurs.

**  Marie-France Le Boulch, Vice-Présidents du Conseil général du Finistère, Henriette Le Brigand, Françoise Péron, Christian Troadec,  Laurence Fortin, Conseillère régionale de Bretagne déléguée à l’économie sociale et solidaire, Conseillers généraux, AnneTroalen, Conseillère régionale, ont égalementparticipé à cette journée de travail et d’échanges. 

Construire l'avenir du Pays de Quimperlé : du foyer des jeunes travailleurs à la requalification des zones économiques de Kervidanou

Photos Le Télégramme

Les Kervidanou...1100 emplois en jeu !

Pas moins...

Un projet de requalification d'envergure et d'avenir porté par la Cocopaq, soutenu par la Région Bretagne et le Conseil général du Finistère, et des communes mobilisées, qui ont fait du développement économique de leur territoire leur priorité.

Un foyer des jeunes travailleurs inauguré. Pour permettre à ces derniers une insertion professionnelle facilitée à l'heure où les précarités sont grandissantes.

Deux signes positifs d'encouragement donnés aux salariés du Pays de Quimperlé, à ceux qui vont entrer dans la vie active et à ceux qui sont en recherche d'emploi.

Lutter contre la crise oui. Construire l'avenir et permettre le développement économique de tout un territoire aussi.

Très heureux d'avoir assisté à ces deux évènements cette semaine et d'y avoir un peu contribué dans mes mandats successifs de Président de la Cocopaq et de vice-Président du Conseil général en charge de l'insertion et de l'économie.

Assises régionales de l'agro-alimentaire : il y a urgence !

C'était le 25 mars dernier, en Préfecture de Région, en présence d'Alain Berger, Délégué Interministériel aux IAA, la restitution des travaux des 4 groupes de travail qui depuis octobre 2012 planchent sur l'avenir de l'agro-alimentaire en Bretagne.

Rencontre à laquelle j'ai souhaité assister tant les enjeux sont importants pour notre région, pour les finistèriens. 80 000 emplois en jeu !

Les présidents de ces ateliers, tous représentants d’entreprises, ont ainsi présenté des pistes d’actions concrètes dont celles-ci.

La première d'entre-elle étant de faciliter les investissements, dont on connaît les faibles taux de rentabilité à court terme, par la mobilisation d'un fonds financier inter-régional et des mesures fiscales adaptées.

La seconde vise à développer les compétences des salariés, à agir sur l'amélioration des conditions de travail.

La troisième vise à mettre en place un nouveau partenariat agriculture/IAA/GMS, porteur d’avenir, par la mise en application de nouvelles relations contractuelles par la remise en question de dispositions de la loi LME.

La quatrième en aidant les entreprises à exporter, mais aussi à lutter à armes égales avec des entreprises européennes qui peuvent bénéficier de distorsiosn sociales et environnementales inacceptables à l'heure du marché commun.

Celles-ci et bien d'autres vont ainsi alimenter la réflexion nationale.

Nous serons attentifs aux conclusions de cette démarche et aux propositions qui en découleront.

 

Soutenir les femmes créatrices d'entreprise

C'était mardi denier avec mon Président. La signature de la convention triennale 2013-2015 avec l’association "Entreprendre au Féminin Bretagne", représentée par Sandrine Manusset, Présidente.

Les deux parties ont ainsi scellé un partenariat de trois ans autour d’objectifs ambitieux et partagés.

Cette association a été créée en 2008 pour poursuivre la dynamique initiée dans le cadre du programme européen EQUAL piloté à l'époque par le Conseil général du Finistère.

Forte de son expérience acquise au cours de ce programme, l’association porte aujourd’hui un projet ambitieux qui rayonne sur les 4 départements bretons avec 300 membres adhérentes et 6 salariées réparties dans 3 antennes départementales. 

Grâce au soutien financier du Conseil général, de la Région, et de l’Europe dans le cadre du Fonds social européen, l’association accompagne, prépare et assiste les femmes dans leurs projets de création d’entreprise. 

Elle contribue également à la promotion de la culture entrepreneuriale et à la culture de l’égalité femmes-hommes et permet la remobilisation professionnelle et la levée des freins à la création d’entreprises par les femmes bénéficiaires du RSA. 

Les missions de l’association rejoignent ainsi les ambitions du Conseil général qui visent à favoriser l’émergence d’activités nouvelles et innovantes qui créent de la richesse, privilégient un fort ancrage territorial, participent au rayonnement du Finistère, et favorisent la création et la reprise d’entreprises par les femmes.

Le réseau "Entreprendre au Féminin Bretagne" participe également au projet européen B.NEW, piloté par le Conseil général et dont l’objectif est de créer un réseau transfrontalier de femmes entrepreneures, en partenariat avec le Conseil général des Côtes d’Armor, la Cornouaille britannique et le Hampshire.

Ce projet ambitieux vise à favoriser la création et le développement d’entreprises par les femmes et à créer des échanges économiques entre les femmes des deux pays.