Quimperlé demain

Communiqué de presse (vendredi 16 jullet) : Lycée de Kerneuzec : « Nous demeurons attentifs »

 

Ce matin, une délégation composée du député Gilbert Le Bris, du Maire Alain Pennec, des Conseillers régionaux Gaël Le Meur et Nicolas Morvan, et du Conseiller général Michaël Quernez, ainsi que deux représentants du lycée de Kerneuzec,  était reçue par Mme l’Inspecteur d’Académie pour évoquer la demande d’ouverture d’une 10ème classe de seconde.

Pour l’Académie, à ce jour, la prévision de rentrée pour les effectifs de seconde demeure inchangée à 315 élèves, ce qui en l’état ne permet pas à l’administration de répondre favorablement à la demande d’ouverture.

Toutefois, Mme l’Inspecteur d’Académie nous a annoncé :

-   Qu’une dotation complémentaire horaire (l’équivalent d’un ½ temps de professeur) serait  allouée à l’Etablissement pour l’Accompagnement Personnalisé des élèves de seconde.

-   Que la situation de l’Etablissement ferait bien l’objet d’un suivi attentif des services académiques, à la rentrée, et que des moyens supplémentaires pourraient être mis en œuvre en fonction des effectifs constatés afin d’accueillir de nouveaux élèves qui s’inscriraient en septembre.

Nous demeurons donc collectivement attentifs à ce que les conditions d’accueil en seconde des lycéens permettent un enseignement public de qualité.

 

Gilbert Le Bris - Alain Pennec -  Gaël Le Meur - Nicolas Morvan -  Michaël Quernez

Ce matin, une délégation composée du député Gilbert Le Bris, du Maire Alain Pennec, des Conseillers régionaux Gaël Le Meur et Nicolas Morvan, et du Conseiller général Michaël Quernez, ainsi que deux représentants du lycée de Kerneuzec,  était reçue par Mme l’Inspecteur d’Académie pour évoquer la demande d’ouverture d’une 10ème classe de seconde.

Pour l’Académie, à ce jour, la prévision de rentrée pour les effectifs de seconde demeure inchangée à 315 élèves, ce qui en l’état ne permet pas à l’administration de répondre favorablement à la demande d’ouverture.

Toutefois, Mme l’Inspecteur d’Académie nous a annoncé :

-   Qu’une dotation complémentaire horaire (l’équivalent d’un ½ temps de professeur) serait  allouée à l’Etablissement pour l’Accompagnement Personnalisé des élèves de seconde.

-   Que la situation de l’Etablissement ferait bien l’objet d’un suivi attentif des services académiques, à la rentrée, et que des moyens supplémentaires pourraient être mis en œuvre en fonction des effectifs constatés afin d’accueillir de nouveaux élèves qui s’inscriraient en septembre.

Nous demeurons donc collectivement attentifs à ce que les conditions d’accueil en seconde des lycéens permettent un enseignement public de qualité.

 

Gilbert Le Bris - Alain Pennec -  Gaël Le Meur - Nicolas Morvan -  Michaël Quernez

L'USQ a 90 ans !

 

Nous étions nombreux dimanche à avoir répondu à l'invitation de l'Union Sportive Quimperloise pour fêter les 90 ans du Club.

Un moment de retrouvailles pour toutes celles et tous ceux qui ont à un moment de leur vie donné de leur temps comme bénévoles ou joué au football au sein de ce club, pour toutes celles et tous ceux qui s'investissent aujourd'hui sans compter.

Un moment d'émotion devant toutes ces photos pleines de souvenirs et notamment toutes ces licences...(non ...je n'ai pas changé...).

Un club qui envisage l'avenir avec envie et sérénité.

Qui estime notamment que le projet de fusion avec le FCQ proposé par la municipalité ne permettrait pas à ce club, ses bénévoles et ses joueurs de conserver ce qui fait la force de cette association, la convivialité et la camaraderie.

Lors du dernier conseil municipal, au moment du vote du budget, et des subventions aux associations une discussion s'est d'ailleurs engagée à ce sujet avec la municipalité.

Ces quelques lignes pour redire mon sentiment.

Une telle fusion ne peut évidemment s'envisager qu'avec l'accord des deux parties.

Qu'il appartient bien à la mairie de dire aussi quelle nature de projet, associatif et sportif, elle entend soutenir et porter en lien avec les clubs concernés, et quels moyens elle entend mettre en oeuvre pour y parvenir et dans quels délais.

Que la suppression des subventions municipales comme elle l'envisage en juin prochain à défaut d'une telle fusion est inacceptable et insupportable pour des bénévoles associatifs.

C'est simplement ce que j'ai pu redire aux élus de la majorité lors de la dernière commission des sports.

Nous étions nombreux dimanche à avoir répondu à l'invitation de l'Union Sportive Quimperloise pour fêter les 90 ans du Club.

Un moment de retrouvailles pour toutes celles et tous ceux qui ont à un moment de leur vie donné de leur temps comme bénévoles ou joué au football au sein de ce club, pour toutes celles et tous ceux qui s'investissent aujourd'hui sans compter.

Un moment d'émotion devant toutes ces photos pleines de souvenirs et notamment toutes ces licences...(non ...je n'ai pas changé...).

Un club qui envisage l'avenir avec envie et sérénité.

Qui estime notamment que le projet de fusion avec le FCQ proposé par la municipalité ne permettrait pas à ce club, ses bénévoles et ses joueurs de conserver ce qui fait la force de cette association, la convivialité et la camaraderie.

Lors du dernier conseil municipal, au moment du vote du budget, et des subventions aux associations une discussion s'est d'ailleurs engagée à ce sujet avec la municipalité.

Ces quelques lignes pour redire mon sentiment.

Une telle fusion ne peut évidemment s'envisager qu'avec l'accord des deux parties.

Qu'il appartient bien à la mairie de dire aussi quelle nature de projet, associatif et sportif, elle entend soutenir et porter en lien avec les clubs concernés, et quels moyens elle entend mettre en oeuvre pour y parvenir et dans quels délais.

Que la suppression des subventions municipales comme elle l'envisage en juin prochain à défaut d'une telle fusion est inacceptable et insupportable pour des bénévoles associatifs.

C'est simplement ce que j'ai pu redire aux élus de la majorité lors de la dernière commission des sports.

Fermeture du Tribunal d'Instance : cette fois c'est fini

 

" Dernière audience au Tribunal d'Instance de Quimperlé ?

Et bien tant que le Conseil d'Etat n'aura pas rendu son avis sur le recours introduit par l'Association des Petites Villes de France, il nous est encore permis de croire en la devise de notre République et en ses institutions.

Un recours introduit devant le Conseil d'Etat en réponse à la brutalité de ce gouvernement qui a ignoré ces deux dernières années les élus locaux, les territoires, et ceux qui y vivent.

Un gouvernement qui a rompu avec le pacte de solidarité républicaine d'aménagement du territoire, dont les services publics de proximité sont la pierre angulaire.

Les hôpitaux, les bureaux de Poste, les Tribunaux sont ainsi supprimés sans aucune discussion ni concertation, sans qu'aucune "étude d'impact" ne soit menée pour regarder les conséquences induites par de telles décisions, dictées par des considérations budgétaires de court terme.

Un Etat aux abois budgétaire, à forces de cadeaux fiscaux pour ses clientèles électorales.

Ce Pays mérite décidément mieux, la Bretagne et notre Pays également.

Le front uni des élus la semaine passée au Tribunal d'Instance portait ce message. La mobilisation citoyenne nous montre que notre Pays n'est pas à genoux et qu'il peut résister".

Ces quelques mots datent de novembre 2009.

Depuis le Conseil d'Etat a tranché. C'était vendredi dernier. Et malgré le fait qu'aucune étude d'impact préalable n'ait été faite pour mesurer les incidences de cette fermeture.

Des conséquences que l'on peut d'ores et déjà mesurer. 150 000 euros c'est le coût du transfert des tribunaux de Quimperlé et de Chateaulin vers Quimper.

Au delà de ces questions budgétaires ce sont bien les plus fragiles d'entre-nous qui paieront une fois de plus la note de ce déménagement du territoire.

Et le Point d'Accès au Droit qu'envisage de créer la mairie ne pourra apporter on le sait qu'une réponse partielle à ces derniers. Sur le dos des contribuables quimperlois qui plus est.

Et dire que deux jours avant Rachida Dati prêtait serment d'avocate au Palais de justice de Paris !

" Dernière audience au Tribunal d'Instance de Quimperlé ?

Et bien tant que le Conseil d'Etat n'aura pas rendu son avis sur le recours introduit par l'Association des Petites Villes de France, il nous est encore permis de croire en la devise de notre République et en ses institutions.

Un recours introduit devant le Conseil d'Etat en réponse à la brutalité de ce gouvernement qui a ignoré ces deux dernières années les élus locaux, les territoires, et ceux qui y vivent.

Un gouvernement qui a rompu avec le pacte de solidarité républicaine d'aménagement du territoire, dont les services publics de proximité sont la pierre angulaire.

Les hôpitaux, les bureaux de Poste, les Tribunaux sont ainsi supprimés sans aucune discussion ni concertation, sans qu'aucune "étude d'impact" ne soit menée pour regarder les conséquences induites par de telles décisions, dictées par des considérations budgétaires de court terme.

Un Etat aux abois budgétaire, à forces de cadeaux fiscaux pour ses clientèles électorales.

Ce Pays mérite décidément mieux, la Bretagne et notre Pays également.

Le front uni des élus la semaine passée au Tribunal d'Instance portait ce message. La mobilisation citoyenne nous montre que notre Pays n'est pas à genoux et qu'il peut résister".

Ces quelques mots datent de novembre 2009.

Depuis le Conseil d'Etat a tranché. C'était vendredi dernier. Et malgré le fait qu'aucune étude d'impact préalable n'ait été faite pour mesurer les incidences de cette fermeture.

Des conséquences que l'on peut d'ores et déjà mesurer. 150 000 euros c'est le coût du transfert des tribunaux de Quimperlé et de Chateaulin vers Quimper.

Au delà de ces questions budgétaires ce sont bien les plus fragiles d'entre-nous qui paieront une fois de plus la note de ce déménagement du territoire.

Et le Point d'Accès au Droit qu'envisage de créer la mairie ne pourra apporter on le sait qu'une réponse partielle à ces derniers. Sur le dos des contribuables quimperlois qui plus est.

Et dire que deux jours avant Rachida Dati prêtait serment d'avocate au Palais de justice de Paris !