C’est une décision qui n’a certainement pas dû être aisée à prendre, car on connaît l’attachement profond d’Alain Pennec à sa cité.
En même temps, je comprends : un mandat de maire, c’est à la fois exigeant et difficile.
Alain Pennec a aujourd’hui envie de tranquillité et de sérénité.
Sa décision n’a aucune incidence sur la mienne.
Je l’ai prise à Noël, après avoir rencontré de nombreux Quimperlois et Quimperloises.
J’en ferai l’annonce en respectant le calendrier du parti socialiste, donc après le 10 octobre. »
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