La manœuvre politicienne a parfois des allures de farce grotesque !
On se souvient que le maire avait fait élire Michaël Quernez suppléant à la Cocopaq alors qu’il n’était pas candidat, l’obligeant à démissionner d’une délégation qu’il n’avait jamais sollicitée.
Dès lors, on s’attendait à une nouvelle élection au dernier conseil. Quelle ne fut pas notre surprise d’entendre Alain Pennec annoncer que ce poste de suppléant n’était pas indispensable et que la majorité ne proposait aucun candidat ?
La place étant libre, Erwann Balanant a proposé sa candidature, candidature refusée par le maire.
Un fait qui illustre à postériori la démarche purement opportuniste et tactique du maire. S’il voulait vraiment l’ouverture à l’opposition, rien ne l’empêchait de lui proposer un poste de titulaire.
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