N'est pas qui veut le Général De Gaulle !
Qui peut croire une seule seconde que la politique de la chaise vide choisie par le maire de Quimperlé, qui a donc mercredi dernier refusé qu'un élu quimperlois siège à l'office de tourisme communautaire, aura une quelconque influence sur la Cocopaq ?
Personne évidemment...
A défaut d'obtenir deux sièges sur 9 les élus de Quimperlé vont donc « briller » par leur absence.
Dès le début de cette "affaire" nous nous sommes exprimés notamment en conseil municipal pour dire qu'un siège ou deux cela nous semblait pas là l'essentiel, mais que nous comptions bien que La voix de Quimperlé se fasse entendre au bénéfice des professionnels du tourisme qui exercent leur activité dans notre cité.
Peine perdue.
Une politique de la chaise vide qui succède donc à une tentative avortée de manipulation politicienne.
Souvenez-vous. Lors du dernier Conseil municipal le Maire de Quimperlé qui réclamait à l'époque deux sièges à l'office de tourisme communautaire n'avait rien de trouver de mieux que de me faire désigner délégué communautaire suppléant à cette fin.
Une manipulation politicienne qui reposait qui plus est sur une méconnaissance juridique totale des mécanismes de désignation puisque vérification faîte un délégué communautaire suppléant ne peut siéger légalement au sein de cet "organisme extérieur" à la Cocopaq qu'est l'office de tourisme communautaire.
Politique de la chaise vide, manipulation politicienne, méconnaissance juridique...
Décidément, le tourisme en pays de Quimperlé mériterait mieux que tant d'inconséquences !
Michaël Quernez. Pour Quimperlé Demain.
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