La fermeture cet été du bureau de la Place St Michel intervient dans un contexte très particulier.
On évoque en effet depuis quelques semaines un projet de changement de statut de La Poste, avec à la clef une ouverture du capital de 10 à 20%.
C'est ce que l'on appelle communément une privatisation rampante.
A l'image de ce qui s'est passé pour la soeur jumelle de La Poste France Télécom.
L'Etat y est aujourd'hui tout simplement minoritaire.
On est bien loin de l'époque des PTT, Postes, Télégraphes, Télécommunications.
Que faire pour s'opposer à cela ?
Signer les pétitions, et ainsi oeuvrer à l'organisation d'un référendum national, permis par la nouvelle constitution.
Et manifester.
Vendredi, à l'initiative de notre camarade Corentin Le Tocquec, retraité CGT de La Poste, nous sommes invités à nous retrouver à 10h30 devant le bureau de Poste de la Place St Michel.
Au sujet des fermetures de cet été, j'ai d'ailleurs saisi la semaine dernière le Directeur départemental de la Poste. J'attends sa réponse.
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