Ecole maternelle du Lézardeau

 

Que faut-il en penser ?

Nous avons été reçus ce jour près d'une heure par M Folk, Inspecteur d'académie adjoint qui a en charge les dossiers pédagogiques du premier degré (enseignement préélémentaire et élémentaire).

Une heure au lieu des trentes minutes promises. Mais à cinq pas plus...Trois membres de la délégation ont du patienter à l'accueil !

Nos arguments auront donc au moins été écoutés. Seront-ils entendus ?

J'en doute. Malheureusement.

Le cadre est fixé. Les priorités semblent ailleurs.

Malgré les arguments avancés par les parents d'élèves, le DDEN, le Maire et moi-même.

Des arguments qui tendent à prouver objectivement que la suppression de la PS1 du Lézardeau aura pour première conséquence de surcharger les trois autres classes de cette école.

Que les trois autres groupes scolaires qui sont censés accueillir au minimum les 11 enfants de PS1 inscrits à ce jour n'ont pas, contrairement à ce que dit l'Inspection, la capacité d'accueil suffisante sauf à surcharger leurs propres classes.

Et que dire aux familles qui seront condamnées à scolariser leurs enfants dans deux groupes scolaires différents avec toutes les conséquences que cela suppose.

Disons simplement les choses. L'éducation nationale est en train de tirer progressivement un trait sur l'accueil des 2-3 ans. Sans bien sur le dire officiellement.

D'autres n'ont pas la même pudeur.

"Au moment où l'Education nationale se désengage à l'égard des moins de trois ans, le temps est sans doute venu pour les étalissements catholiques de redécouvrir leur savoir-faire spécifiques pour l'accueil des tout-petits dès dix-huit mois (ou même en deçà) et des les mettre à disposition de tous. Ce chantier exigera d'inventer des formules très variées, adaptées aux contextes locaux. Sortons des sentier battus ! Utilisons, en ce domaine comme dans les autres, nos espaces de liberté ! Sachons être aussi audacieux que des enfants !".

n° 321, février 2008. Enseignement catholique actualité. M Eric de Labarre Secrétaire général.

Vous avez dit choix politique !

Que ce gouvernement ai au moins le courage de ses opinions et directives !

Que faut-il en penser ?

Nous avons été reçus ce jour près d'une heure par M Folk, Inspecteur d'académie adjoint qui a en charge les dossiers pédagogiques du premier degré (enseignement préélémentaire et élémentaire).

Une heure au lieu des trentes minutes promises. Mais à cinq pas plus...Trois membres de la délégation ont du patienter à l'accueil !

Nos arguments auront donc au moins été écoutés. Seront-ils entendus ?

J'en doute. Malheureusement.

Le cadre est fixé. Les priorités semblent ailleurs.

Malgré les arguments avancés par les parents d'élèves, le DDEN, le Maire et moi-même.

Des arguments qui tendent à prouver objectivement que la suppression de la PS1 du Lézardeau aura pour première conséquence de surcharger les trois autres classes de cette école.

Que les trois autres groupes scolaires qui sont censés accueillir au minimum les 11 enfants de PS1 inscrits à ce jour n'ont pas, contrairement à ce que dit l'Inspection, la capacité d'accueil suffisante sauf à surcharger leurs propres classes.

Et que dire aux familles qui seront condamnées à scolariser leurs enfants dans deux groupes scolaires différents avec toutes les conséquences que cela suppose.

Disons simplement les choses. L'éducation nationale est en train de tirer progressivement un trait sur l'accueil des 2-3 ans. Sans bien sur le dire officiellement.

D'autres n'ont pas la même pudeur.

"Au moment où l'Education nationale se désengage à l'égard des moins de trois ans, le temps est sans doute venu pour les étalissements catholiques de redécouvrir leur savoir-faire spécifiques pour l'accueil des tout-petits dès dix-huit mois (ou même en deçà) et des les mettre à disposition de tous. Ce chantier exigera d'inventer des formules très variées, adaptées aux contextes locaux. Sortons des sentier battus ! Utilisons, en ce domaine comme dans les autres, nos espaces de liberté ! Sachons être aussi audacieux que des enfants !".

n° 321, février 2008. Enseignement catholique actualité. M Eric de Labarre Secrétaire général.

Vous avez dit choix politique !

Que ce gouvernement ai au moins le courage de ses opinions et directives !