Bagad de Quimperlé, Festival de cinéma Passeurs de lumière, Semaine Africaine…
C’est de plus en plus souvent que nous découvrons par voie de presse les dessous des relations entre la municipalité et les associations culturelles de notre cité.
Relations pour le moins difficiles qui vont de l’incompréhension mutuelle au conflit ouvert !
Pourquoi ?
Parce que contrairement à ce que prétendent certains élus, le manque de dialogue empêche la mise en place de projets partagés. Seule, la voie autorisée du maire compte, et sa conception on le sait très personnelle de la culture se limite à la préservation du patrimoine.
Une vision qui vient souvent contrecarrer les quelques orientations prises par l’adjointe déléguée à la culture, ce qui ne facilite ni la lisibilité des décisions, ni les échanges avec les acteurs associatifs, ballotés sans cesse d’un interlocuteur à l’autre.
De plus, le poste dédié aux relations avec les associations, que nous avions créé, a été remplacé par un poste exclusivement dédié au patrimoine. On en voit aujourd’hui les effets dévastateurs sur la dynamique associative.
Dommage, car nous le savons : la véritable force culturelle de notre cité, ce sont ses associations qui œuvrent au quotidien pour animer notre ville. Avec leur richesse et leur diversité.
Elles peuvent être l’élément moteur d’un véritable projet culturel pour Quimperlé, projet que nous appelons de nos vœux !
Quimperlé demain. Michaël Quernez, Isabelle Baltus, Nadine Constantino, Michel Forget, Daniel Le Bras, David Le Doussal, Cécile Peltier.
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