Entre terre et mer Le Blog de Michaël Quernez

Construire l'avenir de la pêche en Finistère et en Cornouaille

 

Le ton était grave et solennel.

Et révélait une certaine lassitude et inquiétude pour l’avenir.

Le Président de la CCI, jeudi, lors de l’assemblée générale, a exprimé tout haut les difficultés rencontrées à fédérer les professionnels de la pêche en Cornouaille.

Des difficultés malgré les nombreuses démarches engagées ces derniers mois pour rassembler les acteurs de la filière, dont la création de la fédération départementale des comtés locaux pour la pèche soutenue par le Conseil général.

Dont la démarche de pacte territorial pour une pèche durable en Cornouaille, qui porte en effet cette ambition de proposer une vision commune, dans la perspective des discussions à venir sur la réforme des pèches que l’Europe va engager dans les prochaines semaines.

Nous le savons. Lors de la signature de ce pacte certains partenaires ont choisi de ne pas s’engager. Ceci révèle cette difficulté profonde à parler d’une voix unique. Concarneau manque à l’appel de la fédération départementale. Les bolincheurs et les ligneurs se parlent aujourd’hui par presse interposée.

Et pourtant il nous faut collectivement poursuivre les projets en cours dont celui de la « concession unique » qui vise à fédérer les ports de Cornouaille, à mutualiser et rationaliser les outils mis à disposition des professionnels.

Seule une démarche courageuse et respectueuse de la diversité des métiers de la pêche, nous permettra en effet d’envisager l’avenir avec un peu plus de sérénité qu’aujourd’hui.

Les investissements lourds actuellement engagés par le Conseil général dans les ports de pêche bigouden de St Guénolé et du Guilvinec (20 millions d’euros), les opérations importantes de désenvasement à venir attestent de notre volonté d’accompagner la pèche cornouaillaise et finistérienne. 

En mémoire des 7 morts pour la France et portés disparus de Quimperlé

 

 

 

Nous étions nombreux ce soir à écouter le message national en mémoire des morts et portés disparus de cette sale guerre.

Voici le message lu en cette occasion.

" En ce 47e anniversaire du cessez-le-feu, le 19 mars 1962, nous nous retrouvons devant ce monument aux Morts pour rappeler que durant la guerre d’Algérie et les combats de la Tunisie et du Maroc, près de 30 000 camarades de combat ont été tués.

N’oublions pas non plus les disparus et les victimes civiles. Seule journée historique et incontournable.

Souvenons-nous : la mémoire et le souvenir peuvent se perdre très vite.

Soyons attentifs pour que les générations futures prennent conscience que, grâce à tous les anciens combattants, notre pays est libre et vit actuellement, depuis plus de 45 ans, dans une République apaisée de la haine et des vengeances guerrières.

Et, si nos enfants et petits-enfants abandonnent notre héritage et prêtent l’oreille aux sirènes de la guerre, nous ne pourrons en être tenus pour responsables.

Aujourd’hui comme demain, il faut bannir les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité.

Proclamons notre volonté de maintenir les valeurs de Justice, de Liberté et de Patriotisme.

Restons et soyons toujours les veilleurs de la solidarité, de l’amour du prochain et de la Paix".

Le Comité National de la FNACA

Le PS dans la rue le 19 mars

 

La fédération du Finistère du Parti socialiste appelle ses adhérents et sympathisants à participer nombreux aux rassemblements organisés le 19 mars dans le Finistère à 10h30 à Brest, Quimper, Morlaix et Quimperlé dans le cadre de la deuxième  journée d’action intersyndicale pour l’emploi et le pouvoir d’achat.

 

Malgré la mobilisation, pourtant exemplaire, du 29 janvier, le gouvernement et le patronat n’ont pas entendu les revendications des salariés, des demandeurs d’emploi, des retraités et des étudiants. La casse du service public se poursuit tandis que plusieurs entreprises continuent de privilégier leur rentabilité au détriment de l’emploi.

 

Le président de la République et le MEDEF seraient bien inspirés, jeudi, de prendre en compte le message qui leur sera adressé par les grévistes et les manifestants.

Première année de mandat. Quel bilan ? Tribune de l'opposition. Journal municipal mars-avril 2009

Les promesses faites aux Quimperlois sont-elles tenues ?

« L’esprit d’ouverture, le dialogue ». Notre équipe a été exclue des discussions relatives à l’avenir du Pays de Quimperlé, la majorité n’ayant pas souhaité nous accorder la moindre possibilité de siéger au sein de la Cocopaq. Ce non-respect de l’opposition, cet ostracisme est regrettable. La majorité s’est ainsi privée de notre expérience acquise lors du dernier mandat, au détriment de l’intérêt des Quimperlois.

 « A l’écoute des associations». La municipalité souhaiterait que les clubs de football de l’USQ et FCQ fusionnent. Mais, pour seule méthode de discussion, on brandit la menace de supprimer les subventions en cas de désaccord et d’échec !

« Priorité aux services publics ». Lors de la fermeture du bureau de poste de la place St Michel l’été dernier, la réaction du maire a été bien tardive et embarrassée. Quand le gouvernement s’est attaqué au service public d’éducation, la municipalité a mis en place, sans état d’âme, le Service Minimum d’Accueil. Enfin, devant la menace de fermeture du Tribunal d’Instance, la majorité n’a même pas attendu le résultat du recours déposé au Conseil d’Etat pour proposer un « Point d’accès au droit », ersatz d’un service public de justice !  Est-ce ainsi que l’on défend les services publics ?

«Agir dans la transparence et la clarté » .C’est ce que devait permettre un audit surmédiatisé. Mais où est la transparence quand on constate que l’autofinancement, évalué par l’audit à 280000 euros, est en fait de 625000 euros pour 2008 !

Alors, promesses tenues ?  A vous de juger !

Michaël Quernez, Nadine Constantino, Michel Forget, Daniel Le Bras, David Le Doussal, Cécile Peltier,  M.T Sauvervald.

 

 

Poursuivre le travail engagé

  A la demande de Pierre Maille, et pour succèder à Jean-Luc Fichet, j'ai accepté la Présidence du CDT.

Depuis une année, en tant que Vice-Président chargé de l'insertion et de l'économie et donc du tourisme, je travaille en lien avec le CDT pour mettre en oeuvre le schéma départemental du tourisme que nous avons adopté au Conseil général en juin 2008.

Mon action s'inscrira donc dans la continuité et avec la volonté de traduire dans les faits cette feuille de route ambitieuse qu'est ce schéma départemental.

Avec les partenaires du CDT, le travail qui nous attend est passionnant.

Il est aussi crucial, tant l'économie du tourisme contribue à l'économie finistèrienne.

Qui plus est, dans le contexte difficile auquel nous sommes confrontés.

C'est pourquoi, la réforme des aides aux hébergements touristique adoptée à l'unanimité en janvier dernier au Conseil général et que nous traduirons dans les faits en juin prochain, se doit d'être ambitieuse pour conforter les professionnels du tourisme.

La question de la "gouvernance", sera aussi au coeur de notre action.

Pour rendre plus efficace encore les moyens financiers que nous mettons en oeuvre pour accompagner le tourisme en Finistère.

Faire entendre au gouvernement et au patronat nos revendications le 19 mars.

La forte mobilisation du 29 janvier a conduit le président de la République à annoncer à l’occasion de la rencontre avec les partenaires sociaux, le 18 février, une légère inflexion sociale à son plan de relance.

En réponse à une partie des revendications avancées par les organisations syndicales, des mesures sont annoncées, des processus de concertation sont proposés sur le partage de la valeur ajoutée et des profits, un fonds d’investissement social est programmé.

Les organisations syndicales CFTC, CFDT, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA considèrent que les mesures sont trop parcellaires pour modifier le cap économique de la politique gouvernementale.

 Par ailleurs le Président a refusé catégoriquement d’augmenter le Smic, de modifier sa politique d’emploi dans les fonctions publiques et de revenir sur la défiscalisation des heures supplémentaires…

A cela s’ajoutent l’attitude dogmatique du patronat et son refus d’assumer ses responsabilités. La crise nécessite des réponses d’une toute autre portée. Les effets de la crise économique et financière s’accentuent et accroissent les inquiétudes des salariés. La recrudescence des suppressions d’emploi, d’utilisation du chômage partiel, contribuent à amplifier la récession et pèsent lourd sur le pouvoir d’achat qui se dégrade.

Tout ceci conduit les organisations syndicales à poursuivre la mobilisation. Elles appellent à poursuivre les actions engagées dans les secteurs professionnels. Elles confirment la journée de mobilisation interprofessionnelle du 19 mars 2009 qui donnera lieu à des grèves et des manifestations dans tout le pays.

En prolongement de leur déclaration commune du 5 janvier 2009, elles appellent leurs syndicats et les salariés, les demandeurs d’emploi, les retraités, à faire entendre au gouvernement comme aux responsables patronaux et employeurs leurs revendications :

• défendre l’emploi privé et public ;

• lutter contre la précarité et les déréglementations économiques et sociales ;

• exiger des politiques de rémunération qui assurent le maintien du pouvoir d’achat des salariés, des chômeurs et des retraités et réduisent les inégalités ;

• défendre le cadre collectif et solidaire de la protection sociale, des services publics de qualité.

 Elles expriment leur solidarité et leur soutien aux salariés des DOM et à leurs organisations syndicales et appellent gouvernement et patronat à répondre positivement aux revendications posées.

Elles conviennent de se réunir à nouveau le 20 mars 2009 à 8h00.

Communiqué commun de : CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA Le 23 février 2009

Le Pacte pour une pêche durable en Cornouaille 2009-2012

C'était hier.

La signature du Pacte pour une pêche durable en Cornouaille.

Le fruit d'un lourd, très lourd travail de discussion, de dialogue, de concertation entre les professionnels de la pêche et les partenaires institutionels que sont le Conseil général, le Conseil régional, la CCI, le Pays de Cornouaille, l'Etat.

Une position commune a ainsi été adoptée pour porter notamment nos attentes auprès de la commission européenne à l'heure où des discussions majeures vont s'ouvrir pour définir la nouvelle politique des pêches qui doit être décidée fin 2012.

La Cornouaille a en effet son mot à dire.

Elle est tout simplement la première place de marché pour la pêche fraîche débarquée en France.

Elle représente 4 ports parmi les 10 premiers nationaux, 25% de la pêche fraîche française et elle est en position de leader européen pour la pêche au thon tropical.

Conscients de cette responsabilité particulière, les acteurs locaux ont donc unis leurs efforts.

Un pacte qui Il se décline en 5 objectifs et 40 actions concrètes.

5 objectifs :
* des métiers et des savoir-faire diversifiés et valorisés pour une activité durable ;
* des navires économiquement rentables et respectueux de leur environnement ;
* la sécurisation des apports et des garanties de qualité pour une meilleure
commercialisation ;
* une organisation portuaire optimisée au service de la filière ;
* une nouvelle forme de gouvernance et un développement local rationalisé ;

40 actions concrètes, conduites chacune par un pilote : Etat, Région, Département, Pays, CCI, acteurs socioprofessionnels.

Il s’agit ainsi d’avoir, dans l’intérêt de l’ensemble des acteurs de la pêche finistérienne et cornouaillaise, un interlocuteur fiable et reconnu par les différentes instances de décisions, communautaires et nationales.

Il s’agit d’un projet d’avenir ambitieux pour une redynamisation et une innovation de la filière pêche, filière essentielle tant à la vie économique que culturelle de la Bretagne occidentale.

Malheureusement, hier, en écho aux évènements de ces derniers jours, certains professionnels ont choisi de ne pas s'engager, de ne pas signer ce pacte, alors qu'ils y ont largement contribué, pour dénoncer l'attitude inacceptable d'un des leurs.

Si on peut comprendre ce geste, ce ras le bol, on ne peut qu'être déçu.

Pour les pêcheurs, pour toutes celles et ceux qui vivent de la pêche.

Pour la Cornouaille, terre marine et maritime.

 

Finistère, le faiseur de COULEURS

"Venez découvrir toutes les richesses touristiques du Finistère du 11 au 14 mars place de l'hôtel de ville à Rennes et du 19 au 21 mars place du Commerce à Nantes !

Une foule d'idées "nature", culturelles, gourmandes ou sportives vous y attendent !

Des producteurs locaux seront présents pour vous faire déguster du cidre, biscuits, spécialités à base d'algues...".

Pour ma part, j'y suis allé mercredi.

 

Pour lancer, en présence du Maire de Rennes, cette opération du Comité départemental du tourisme du Finistère qui a pour objectif de convaincre les rennais de venir en Finistère.

 

Une manifestration importante car la clientèle "régionale" est une de nos premières clientèles touristique.

 

Avant d'aller convaincre les nantais.

 

Défendre le service public d'éducation nationale

AVIS À LA POPULATION

Nous, salariés de l’Éducation Nationale et parents d’élèves, considérons qu’il est de notre devoir d’informer  l’ensemble de la population sur les transformations en cours de l’école. Certes l’école d’aujourd’hui est déjà inégalitaire. Mais les transformations en cours, loin de consolider sa vocation démocratique et égalitaire, la détruisent.

De la Maternelle à l’Université, se met en place un système d’enseignement qui aggravera l’échec scolaire et les inégalités sociales et territoriales. Un système qui sélectionne dès la maternelle, en refusant l'accès à l'école à tous dès le plus jeune âge et en abandonnant tout au long de leur scolarité, les moins “performants” ou les plus fragiles. Un système qui bâcle la formation des futurs professeurs d’école et enseignants du secondaire. Un système qui vise à former une main d’œuvre docile pour couvrir des besoins locaux dont nul ne prévoit la durée.

L’éducation n’est plus pensée comme un nécessaire maillon intermédiaire dans la chaîne des générations : le maillon qui transmet les enseignements du passé pour préparer l’avenir. 

Elle devrait maintenant servir uniquement l’économie du présent. Les voies sont ouvertes pour que les études qui permettront d’accéder aux postes à responsabilités soient réservées aux seules écoles privées. Privées et payantes. Ce n'est pas l'École de 2009 qui remettra en route l'ascenseur social. Bien au contraire. Cet ascenseur va envoyer au sous-sol ceux qui partent avec des handicaps dans la course aux diplômes. 

La crise actuelle nécessite d’investir dans la formation des jeunes générations et dans l’emploi public.

L’École est notre bien commun, un bien public. Elle ne doit pas être transformée à la hussarde. Elle doit être transformée, après un débat public, parce qu’elle est au cœur de notre démocratie. 

MANIFESTATION « DE LA MATERNELLE À L’UNIVERSITÉ »

MERCREDI 11 MARS 18H00 PLACE DE LA LIBERTÉ, BREST.

AGBrest 2008, coordination regroupant les trois degrés de l’enseignement avec le soutien des syndicats et des associations de parents d’élèves ( FCPE, FSU, SDEN-CGT 29, Sud-Éducation ……. )

S'opposer au regroupement des écoles maternelle et primaire de Kersquine. Lettre ouverte au maire de Quimperlé

Quimperlé, le 7 mars 2009

Objet : Lettre ouverte au maire de Quimperlé. Carte scolaire. Regroupement des écoles maternelle et primaire de Kersquine

Mr le Maire,

Par la présente, nous souhaitons vous interpeller sur le projet de carte scolaire pour la rentrée 2009,  présenté jeudi dernier par l’Inspection d’Académie.

Comme vous le savez, ce projet prévoit notamment le regroupement des écoles maternelle et primaire de Kersquine.

L’Inspection d’Académie a toutefois pris le soin de préciser que « concernant le regroupement d’écoles, si le consensus n’est pas obtenu et en particulier si le maire oppose un refus à la nouvelle organisation, le regroupement ne se fera pas à la rentrée 2009 ».

Aussi, nous vous demandons Mr le Maire, de vous opposer à un tel regroupement, comme l’ont fait vos collègues de Mellac et Moëlan sur mer, qui ont d’ailleurs obtenu gain de cause auprès de l’Inspecteur d’Académie.

En effet, ces regroupements voulus par le gouvernement, essentiellement pour des raisons budgétaires, sous couvert de réforme de l’enseignement, ne seront pas sans conséquences pour la qualité d’accueil et d’enseignement de nos enfants.

Comment en effet concevoir le rôle du futur directeur d’une telle entité sans moyens nouveaux dédiés à une telle fonction, puisque cette évolution proposée se fera à moyens constants ?

Comment ne pas voir que les suppressions de classes seront d’autant plus facilitées si les élèves sont regroupés sous une seule entité administrative, le ratio du nombre d’élève par classe s’appliquant arithmétiquement ?

Comment ne pas voir que ces regroupements visent à modifier profondément les cycles d’enseignement et à faciliter en particulier les fusions des classes de Grande section et de CP, sous couvert de mieux organiser le cycle 2 d’enseignement dédié aux apprentissages fondamentaux de la lecture, de l’écriture, des mathématiques ?

Comment ne pas voir que ces regroupements visent également à ne plus permettre de recevoir les enfants dès deux ans, lorsque les parents en font la demande ?

Enfin, nous le savons, ces projets de regroupements préfigurent une autre étape souhaitée par le ministre Darcos, la création des Etablissements Publics d’Enseignement Primaire.

Ces EPEP que le ministre décrivait lui-même en ces termes  le 24 janvier 2008 lors d’une audition par la Commission des finances du sénat: «Nous voulons rationaliser les 57 milliards d’euros en donnant davantage d’autonomie aux établissements et en créant les établissements publics du premier degré, avec des établissements qui aient de vrais patrons, à qui nous puissions déléguer des budgets, qui les gèrent et qui nous rendent compte.......Je le répète, j’espère pouvoir dans le premier trimestre qui arrive, faire faire une avancée considérable sur la question de l’Etablissement public du premier degré. Pour ne pas dire une avancée définitive. Du moins je l’espère ». 

Mr le Maire, c’est bien la nature même de nos écoles maternelles et primaires qui est en jeu.

Aussi, pour toutes ces raisons nous vous demandons de vous opposer à ce projet, et nous vous demandons également d’organiser dans les meilleurs délais une réunion de concertation avec la communauté scolaire et notamment les parents d’élèves, qui sont les premiers concernés par ces réformes et qui ont le droit d’être parfaitement informés des conséquences induites par ces dernières.

Après la mise en œuvre du Service minimum d’accueil, après l’augmentation du forfait aux élèves fréquentant les écoles privées votée lors du conseil municipal de jeudi dernier, nous ne pouvons pas croire qu’une nouvelle fois, vous porterez concours à la politique du Gouvernement Sarkozy-Fillon.

Dans l’attente d’une réponse que nous espérons positive, nous vous prions de croire, Mr le Maire, en l’assurance de nos salutations distinguées.

Michaël Quernez, Nadine Constantino, Michel Forget, Daniel Le Bras, David Le Doussal, Cécile Peltier,  M.T Sauvervald.