Je l'ai dévoilé hier à la presse. Aussi, à partir d'aujourd'hui, je mettrai en ligne chaque jour quelques notes relatives à mes engagements contenus dans ce programme pour les élections cantonales du 9 mars.
Alors, cela commence toujours par un édito.
Pour la première fois à 37 ans, je me présente sur « mon propre nom » à une élection. Ma candidature se veut de renouvellement et d’expérience. J’ai en effet acquis de 1997 à 2002, auprès de Louis Le Pensec, une expérience professionnelle qui s’avère essentielle à l’élu local que je suis depuis 2001.
Au cabinet du Ministre de l’agriculture et de la pêche, j’ai découvert les rouages de l’appareil gouvernemental et de l’administration d’Etat.
Avant de connaitre le Sénat et le travail du législateur. Tout en découvrant auprès de lui le fonctionnement du Conseil général.
Aussi, ce fut un bonheur et un immense privilège pour moi d’avoir pu travailler à ses côtés. J’en en ai tiré des enseignements forts et une détermination à agir au quotidien pour nous toutes et tous. Et une certitude : un élu local se doit de porter autant d’intérêt et d’attention à une situation individuelle et personnelle qu’à un dossier lourd et structurant pour l’avenir de tout un territoire.
C’est cela qui m’a guidé ces dernières années, depuis que je suis devenu moi-même élu. Premier adjoint au maire de Quimperlé en 2001, puis Président de la Cocopaq depuis 2002, je me suis ainsi efforcé avec la Région, le Conseil général, les partenaires sociaux, les associations, de conforter la dynamique du Pays de Quimperlé qui est à un tournant majeur de son histoire économique, démographique, sociale.
Aujourd’hui, fort de cette première expérience, je souhaite poursuivre cette action d’élu local et ressens le besoin d’aller à votre rencontre. Besoin de légitimité aussi, que seul peut donner le vote des électeurs. C’est pourquoi je suis aujourd’hui candidat aux cantonales. Pour succéder à Louis Le Pensec qui vous le savez a choisi de ne pas se représenter.
Etre Conseiller général me permettra d’agir au quotidien pour toutes et tous et d’œuvrer pour l’avenir de notre territoire.
En effet, face à un Etat qui se désengage jour après jour, le Conseil général est solidaire envers les personnes et nos territoires. Il est aussi porteur de progrès et d’avancées sociales. Il agit en faveur des familles, de l’enfance, des personnes âgées et handicapées. Mais l’économie, l’emploi, l’insertion, le logement social, les transports publics ou scolaires, nos collèges sont également ses missions premières.
Le Finistère est une terre de développement durable, un département dynamique et solidaire.
Avec Anne Maréchal, ma remplaçante, je m’engage à œuvrer pour cela. Pour un développement durable et solidaire des cinq communes du canton, du Pays de Quimperlé et de tout le département.
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