Le développement économique de notre territoire se fera aussi grâce au progrès des technologies. Le Conseil général s’est engagé à compléter la couverture en haut débit du Finistère, pour desservir à court terme tout le département avec un débit de 2 mégabits par seconde. La Cocopaq s’est aussi engagée dans un programme de desserte de l’ensemble des zones communautaires.
A l’agriculture. N’oublions surtout pas le formidable potentiel de notre territoire en agro-alimentaire. C’est pourquoi les exploitants agricoles sont accompagnés par l’attribution de subventions. Ainsi, sont soutenus les jeunes dans leur formation et installation, les CUMA dans leur fonctionnement, les exploitations dans leurs mises aux normes. J’ai été constamment à l’écoute de la profession agricole ces dernières années, lorsque nous avons élaboré notre Programme Local de l’Habitat et Schéma de COhérence Territorial, convaincu que la consommation effrénée de foncier à urbaniser pouvait constituer une atteinte majeure à la pérennité économique des exploitations et donc de toute la filière agro-alimentaire. Je poursuivrai ce dialogue fructueux.
A la pêche. Le Conseil général est un partenaire financier indispensable pour la réalisation des travaux structurants dans les deux ports du Canton. Citons l’installation de ponton au Pouldu, les réfections de quais et de cales à Doëlan (309 750 euros en 2002), l’aménagement d’un local multifonction sur le port de Doëlan. Des aides à la modernisation des bateaux sont également attribuées. Ces actions peuvent, malgré la nouvelle crise que connaît la pêche, contribuer au maintien de l’activité.
Au tourisme : le nautisme, la plaisance, la randonnée, notre patrimoine, sont également des moteurs essentiels du développement économique. A nous de mieux valoriser tous ces atouts. Le manoir de Kernault, l’Abbaye St Maurice, la Maison Marie Henry, les trésors patrimoniaux de Quimperlé, mais aussi notre patrimoine naturel. Citons la Laïta et Natura 2000. Une façade maritime exceptionnelle car préservée, des rivières. Avec les cinq municipalités, les deux offices de tourisme de Clohars et Quimperlé, avec les associations de randonnée, de valorisation de nos patrimoines naturels et bâtis et de protection de l’environnement, avec les professionnels du tourisme, hôtels, propriétaires de campings, chambres d’hôtes, il nous faut ensemble construire une stratégie concertée de promotion de notre territoire. Je m’y engage.
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