Entre terre et mer Le Blog de Michaël Quernez

Cantonales : réponse à Francis Jégou

Hier l'Intéressé s'est exprimé dans Ouest-France.

Voici ma réponse en intégralité.

"Francis Jégou s’est exprimé hier sur les dix ans de Présidence socialiste du Conseil général en citant quelques chiffres et en parlant de « hausses sans précédent ». Je souhaite y revenir, préciser les choses, les remettre en perspective et en citer d’autres.

Sur le nombre d'emploi créés au Conseil général par la majorité actuelle.

Oui le personnel a sensiblement augmenté ces dernières années, principalement en raison des transferts de personnels liés aux compétences décentralisées auprès des Conseils généraux. A constater en particulier une hausse de 319 postes entre 2006 et 2007 dont 296 postes liés au transfert des agents des DDE et des agents TOS des collèges. Près de 800 postes en tout ces dernières années. Il ne s’agit donc pas d’emplois nouveaux, mais d’emplois transférés par la volonté de l’Etat. Il n’est donc pas étonnant que la masse salariale connaisse parallèlement une croissance forte. C’est tout simplement mécanique

Toutefois et malgré ces transferts conséquents les charges de personnels restent maitrisées. En 2006, 113,90 euros par habitant contre 115 euros en moyenne dans les Conseils généraux de France.

Des charges bien évidemment non compensées à l'euro l'euro comme la loi le prévoit.

Pour l'exercice 2007, les dépenses induites par les transferts de charge (RMI, APA) se montent à 166,4 millions d'euros pour des recettes se montant à 96,89 millions d'euros. On est loin de la compensation à l'euro près ! En cinq ans c'est la bagatelle de 134 millions d'euros qui manquent à l'appel ! Une dette d’Etat conséquente.

Pourquoi Francis Jégou ne cite-t-il pas ces chiffres ?

Sur le désendettement du Conseil général : la droite conteste le désendettement du Conseil général. Mais les chiffres sont têtus.

De 281 millions d'euros en 1999 à 177 millions d'euros en 2008 !

Soit en 2006 une dette de 227,80 euros par habitant dans notre département contre une moyenne nationale de 332,27 euros.

Encore des chiffres que l’Intéressé aurait pu citer…Et ceux-ci.

Les taux d'imposition :

L'évolution annuelle moyenne de la fiscalité locale en Finistère est comparable entre 1992 et 1998 (ancienne majorité) et depuis 1998. Soit une évolution annuelle en moyenne de 2,8%. 1,8% cette année. .Alors que depuis 2002 tous les départements français essaient de limiter le recours à la fiscalité locale malgré l'alourdissement des charges transférées par l'ETAT.

Quant au « sectarisme » supposé des socialistes je laisse le soin aux seuls citoyens de juger.

Réunions publiques, porte à porte...

Les marchés de Clohars et de Quimperlé. Tous les samedis et vendredis.

Le porte à porte dans les communes de Baye, Clohars, Quimperlé, Tréméven. Et bientôt Mellac.

Les réunions publiques.

Tout ceci fait partie du programme d'un candidat aux cantonales.

Des réunions publiques comme mardi soir à Baye où je m'attache à démontrer que l'action du Conseil général nous concerne toutes et tous, tous les jours.

De la petite enfance, en passant par les transports, l'habitat social, le fonctionnement de nos collèges, la prise en charge des personnes âgées. Tous les jours le Conseil général participe de notre vie.

Alors comment imaginer dans ces conditions que le Département disparaisse, comme l'a suggéré J Attali ?

Tant que les Régions et surtout les Intercommunalités n'auront pas en effet atteint la taille critique nécessaire, ceci est tout simplement inenvisageable.

Notamment au regard de l'importance de l'action sociale portée par le Département.

Les personnes qui viennent aux réunions publiques et que je rencontre semblent fortement partager cet avis, cette conviction.

Cantonales : Construction et entretien des collèges et gestion des personnels.

Sur notre canton nous avons deux collèges publics, deux collèges privés. Et de nombreux collégiens de Clohars fréquentent par ailleurs le collège de Moëlan sur mer. Pour le collège de La Villemarqué, 1.3 million d’euros sur la période 2001-2007 ont été investis.

Le collège Jules Ferry a lui bénéficié d’une restructuration complète, d’une extension, de la recréation d’un internat. 10 millions d’euros y ont été investis.

Quant à l’enseignement privé il a aussi bénéficié d’1.2 millions d’euros consacrés notamment à des travaux de mises aux normes.

Le Département a aussi aidé au fonctionnement et à la rénovation d’écoles maternelles et élémentaires et structures périscolaires. Les travaux les plus importants ont été à Tréméven l’agrandissement de l’école primaire publique et l’ouverture d’une classe bilingue en 2005 pour un montant de près de 130 000 euros. A Mellac, la restructuration du groupe scolaire en 2001 et l’extension du restaurant scolaire en 2004 pour près de 42 000 euros.

Je m’engage à être présent au conseil d’administration des deux collèges publics. A l’écoute des Principaux et de leurs demandes, des parents d’élèves. A l’écoute des autres établissements et à accompagner les élus locaux dans leurs projets communaux.

Cantonales : Améliorer les moyens de déplacement et faciliter la mobilité de tous.

Etre mobile c’est essentiel.

Pour les jeunes, pour ceux qui travaillent, pour les personnes en insertion, pour les personnes à mobilité réduite. Les transports en commun sont indispensables sur un territoire. Ils répondent de plus aujourd’hui à la cherté du déplacement individuel en voiture. A l’heure des économies d’énergie et du développement durable, ils sont une réponse pleinement efficace. Aussi, le Département s’est profondément engagé ces dernières années dans l’amélioration et l’accessibilité pour tous de ces derniers.

Ainsi, le réseau Penn-ar-Bed, depuis l’instauration du tarif unique à 2 euros sur l’ensemble du département a vu sa fréquentation augmenter de 65%. Le Pays de Quimperlé est traversé par trois lignes. Les lignes Le Faouët-Quimperlé, Quimper-Quimperlé, Quimperlé-Le Pouldu. La ligne Guilligomarc’h-Arzano-Rédéné-Quimperlé-Mellac a été créée sur l’impulsion de la Cocopaq en partenariat avec le Conseil général. La ligne « La Plage à Portée de Bus » a été relancée également en partenariat. Elle connait depuis un vif succès. Elle devra permettre aux jeunes du canton de se rendre également en toute sécurité au Pouldu.

Aujourd’hui sur le Pays de Quimperlé les transports scolaires de la maternelle au lycée, vers les établissements publics ou privés, sont confiés en délégation à la Cocopaq. La Cocopaq envisage enfin d’être l’organisateur de l’ensemble des transports sur son territoire à compter de juillet 2010 et ce en plein accord avec le Conseil général.

L’action conjuguée du Conseil Général et de la Cocopaq vise ainsi à améliorer l’offre de transport public en commun. Je m’y suis fortement engagé ces dernières années. Je poursuivrai en ce sens mon action. Je m’investirai en particulier dans le projet de réalisation d’une plateforme multimodale (passage d’un réseau de transport à un autre en un même lieu, avec un même titre de transport), prévue auprès de la gare de Quimperlé. Mais aussi, dans la réalisation d’aire de covoiturage en étant attentif à un projet qui doit s’initier à Kervidanou. Et enfin dans le projet de transport à la demande pour personnes à mobilité réduite engagé par la Cocopaq en partenariat avec le Conseil général.

Enfin, de nombreuses pistes et voies cyclables ont été réalisées. Entre Quimperlé et Baye, vers le Pouldu…Je souhaite que d’autres projets puissent s’initier sur toutes les communes du canton.

Cantonales : Le Conseil Général contribue à la réalisation de logements.

Nous savons que le logement est au cœur du projet de vie d’une famille.

Un parcours résidentiel est parfois nécessaire avant d’acquérir sa propre propriété. Et le logement locatif aidé répond alors à des attentes et des demandes. Mais le déficit de logement social est réel sur notre territoire. Ce n’est pas acceptable. 

Aussi, le nouveau Programme Local de l’Habitat de la Cocopaq (2008-2013) assigne à nos cinq communes du canton des objectifs quantitatifs et qualitatifs. Partant du constat que la part du logement locatif social reste faible dans la plupart des communes de la Cocopaq, il a été décidé d’assigner des objectifs plus ambitieux à nos communes. Ainsi, pour Quimperlé il est prévu de construire sur les six prochaines années 131 logements locatifs aidés, 9 sur Baye, 19 sur Mellac, 19 sur Tréméven, et 42 sur Clohars-Carnoët. Les communes littorales du territoire ayant un très fort retard à combler en la matière puisqu’elles ne comptent que 4,7 % de logements locatifs aidés.

Il s’agit de privilégier dans les opérations, notamment celles de plus de 20 logements, les projets mixtes comprenant à la fois des logements locatifs aidés, des locations-accessions, et des maisons en pleine propriété. Sur le modèle de ce qui a été réalisé rue Lulli à Quimperlé et à Tréméven. Des opérations où les économies d’énergies sont au cœur des projets.

Depuis 2006 le Conseil général a obtenu une délégation de compétence de l’Etat. Il est donc devenu le partenaire privilégié de la Cocopaq pour son Programme Local de l’Habitat puisque c’est lui qui attribue désormais les aides publiques au logement. Je m’engage à suivre tous ces dossiers et à œuvrer à leur réalisation.

Cantonales : L’action sociale est la première compétence du Conseil général.

Plus de 63% du budget du Conseil Général. Soit 382 millions d'euros hors frais de personnel. 1000 salariés sur l’ensemble du Finistère. Un département dont l'exemplarité de l'organisation et de l'action sont unanimement saluées par les autres Conseils Généraux de France.

Les communes du canton font partie du territoire d’action sociale de Concarneau-Quimperlé.

Contre les exclusions. L’insertion de l’ensemble des Finistériens est en effet au cœur des préoccupations du Conseil général. Et l'insertion doit rimer avec emploi. 14000 personnes sont concernées dans le Finistère.

Mais nous le savons, les personnes en difficulté sont très souvent confrontées aux freins à l'insertion : santé, logement, mobilité et accueil des jeunes enfants. Malgré tous ces obstacles, 47% des Rmistes du département ont signé à ce jour un contrat de projet d'insertion professionnelle les liant avec le Conseil général, afin de retrouver une situation professionnelle stable, moteur de l'épanouissement personnel et familial. Le Conseil général pour cela agit dans l'ensemble de ces domaines. Un gros travail est ainsi fait au sein des Commissions Locales de Lutte contre les Exclusions. Et ce malgré le désengagement de l'Etat qui a, à ce jour, une dette de 25 millions d'euros envers le Département. Somme qu'il n'a en effet toujours pas transférée au Département qui gère désormais le budget des allocataires et bénéficiaires.

Sur le canton de Quimperlé, les associations d’insertion sont soutenues. Citons IDES. En tant que Président de la Cocopaq, je me suis attaché à ce que celles-ci soient fortement soutenues et notamment les Jardins de Kerbellec, au moment où ces derniers ont connu de très graves difficultés financières. Aujourd’hui leur situation est stabilisée. Toutes ces actions conjointes doivent porter dans un contexte national de plus en plus difficile pour ceux qui luttent au quotidien pour leur quotidien. Je poursuivrai en ce sens mon action.

Cantonales : L’action sociale est la première compétence du Conseil général (2)

L’action sociale est la première compétence du Conseil général

En faveur des personnes âgées. Plus de 10% des personnes habitant sur le territoire ont plus de 75 ans. Sur notre canton c’est ainsi près de 400 personnes qui bénéficient à ce jour de l’Allocation Personnalisée d’Autonomie. La plupart d’entre-elles, les deux-tiers demeurent à domicile. Ce qui suppose des services d’aide à domicile importants et d’adapter si nécessaire et selon le degré de dépendance les logements. Le Conseil Général est attentif à tout cela.

Il prend par ailleurs toute sa part dans le fonctionnement des établissements d’accueil présents sur notre territoire. Foyer logement, service de long séjour au Centre Hospitalier de Quimperlé et Maison de retraite de Bois-Joly. Après la restructuration de la maison de retraite de Moëlan-sur-mer, c’est au tour de Bois-Joly d’être enfin réhabilité.

Grâce à l’action déterminée de Louis Le Pensec la première tranche, (86 lits soit 1/3 des lits existants) va enfin pouvoir être engagée. En effet, l’Etat s’est longtemps soustrait à ses engagements et ce projet a du coup pris beaucoup de retard. Depuis 2002, sur l’ensemble du Département, ce n’est pas moins de 305 places qui n’ont pu être réalisées sur les 659 prévues, faute de financement de l’Etat.

Puis, il faudra engager dans la foulée de cette première opération de restructuration les deux autres tranches de Bois-Joly soit près de 170 lits. Je m’engage à œuvrer pour cela. Je m’engage également à ce qu’une antenne du CLIC, lieu unique d’information pour les personnes âgées, soit créée sur notre territoire.

Le Conseil général agit en faveur des personnes handicapées. Chaque personne handicapée doit pouvoir réaliser son projet de vie. Le Conseil général entend pour cela favoriser l’autonomie des personnes handicapées au quotidien par l’accès à l’emploi, une offre de transport appropriée, l’adaptation du logement, l’accès aux bâtiments publics. La création de la Maison des Handicapés, à Quimper, répond à ces objectifs.

Cantonales : L’action sociale est la première compétence du Conseil général (3)

Le Conseil général soutien les services communaux ou intercommunaux en direction de la petite enfance…

Les crèches de Clohars-Carnoët et de Quimperlé sont soutenues dans leur fonctionnement. A Clohars-Carnoët la construction d’une nouvelle crèche a bénéficié de 30 500 euros en 2002. Les assistantes maternelles et le Réseau Assistante Maternelle créé sous ma présidence à la Cocopaq également.

J’ai également veillé à ce que le futur centre de loisirs de Kermec à Tréméven permettent de recevoir dans d’excellentes conditions le RAM, ses salariés, mais aussi les assistantes maternelles, les enfants, les parents et qu’un lieu d’écoute enfants /parents et un « jardin d’enfants » pour les 2-4 ans soient également créés. Ces projets sont soutenus par le Conseil général.

Malgré la présence forte des assistantes maternelles, le territoire demeure en tension. Il manque globalement des places d’accueil en structure. C’est pourquoi la Ville de Quimperlé s’est engagée à construire une nouvelle structure d’accueil pour la petite enfance. Ce projet sera naturellement soutenu par le Conseil général.

L’accueil de la petite enfance est une condition essentielle de l’accès au travail, en particulier pour les familles monoparentales. Alors que l’Education nationale scolarise de moins en moins les enfants avant 3 ans, la création de places, la diversité des modes de garde, les horaires adaptés aux besoins des familles sont des réponses à apporter. Le département soutient les initiatives des communes ou intercommunalités.

…les initiatives communales ou intercommunales en faveur de la jeunesse. En tant que Président de la Cocopaq, j’ai œuvré au renforcement des moyens humains et financiers du Point Information Jeunesse et ceux de la Mission Locale. J’ai en particulier contribué à ce que le Point Information Jeunesse puisse se saisir de la question des préventions des conduites à risque sur notre territoire. Je l’ai fait en partenariat étroit avec le Conseil général. Et celui-ci accompagne désormais financièrement et humainement le travail engagé au travers d’une convention de partenariat unique dans le département. Je poursuivrai mes efforts en ce sens.

Cantonales : Le développement économique et l’emploi : ma priorité

Le Conseil Général a tout de suite répondu présent aux difficultés que le bassin d’emploi a connu, suite aux restructurations de trois entreprises importantes du territoire : Volaven, Nestlé et PDM.

Sur proposition de Louis Le Pensec un comité de pilotage a été créé. Une convention territoriale de dynamisation économique du Pays de Quimperlé a été signée entre la Cocopaq, le Conseil Général, le Conseil Régional et l’Etat.

L’accompagnement des personnes licenciées et en recherche de travail, la coordination des aides publiques et privées aux entreprises créatrices d’emplois sont ses missions premières. Ce Comité permet à tous les acteurs du champ économique de se retrouver et de partager une stratégie commune de développement pour notre territoire. Ce travail de fond est animé par une chargée de mission employée par la Cocopaq. Le financement du poste étant assuré par les partenaires, dont le Conseil Général.

Pendant toute cette période, je me suis tenu à l’écoute des partenaires sociaux, suis intervenu à de multiples reprises auprès de l’Etat pour que ces entreprises ne se désengagent pas de notre territoire. Je me suis enfin fortement investi afin d’obtenir notamment de la part du Gouvernement que la Ville de Quimperlé soit réintégrée dans les dispositifs d’aides publiques aux entreprises alors qu’elle en avait été exclue. Cela est aujourd’hui fait et peut contribuer à ce que des entreprises choisissent de s’installer sur notre territoire.

Ainsi, ont été réalisées ces quatre dernières années les zones de développement économique de Kerfleury, de la Villeneuve-Braouic à Quimperlé. Une pépinière d’entreprise a également été créée à Mellac. Ce n’est pas moins de 4.5 millions d’euros qui ont été investis pour créer les emplois de demain. Autant d’éléments favorables à la création et au développement des PME artisanales et industrielles.

Cantonales : Le développement économique et l’emploi : ma priorité. (2)

Le développement économique de notre territoire se fera aussi grâce au progrès des technologies. Le Conseil général s’est engagé à compléter la couverture en haut débit du Finistère, pour desservir à court terme tout le département avec un débit de 2 mégabits par seconde. La Cocopaq s’est aussi engagée dans un programme de desserte de l’ensemble des zones communautaires.

A l’agriculture. N’oublions surtout pas le formidable potentiel de notre territoire en agro-alimentaire. C’est pourquoi les exploitants agricoles sont accompagnés par l’attribution de subventions. Ainsi, sont soutenus les jeunes dans leur formation et installation, les CUMA dans leur fonctionnement, les exploitations dans leurs mises aux normes. J’ai été constamment à l’écoute de la profession agricole ces dernières années, lorsque nous avons élaboré notre Programme Local de l’Habitat et Schéma de COhérence Territorial, convaincu que la consommation effrénée de foncier à urbaniser pouvait constituer une atteinte majeure à la pérennité économique des exploitations et donc de toute la filière agro-alimentaire. Je poursuivrai ce dialogue fructueux.

A la pêche. Le Conseil général est un partenaire financier indispensable pour la réalisation des travaux structurants dans les deux ports du Canton. Citons l’installation de ponton au Pouldu, les réfections de quais et de cales à Doëlan (309 750 euros en 2002), l’aménagement d’un local multifonction sur le port de Doëlan. Des aides à la modernisation des bateaux sont également attribuées. Ces actions peuvent, malgré la nouvelle crise que connaît la pêche, contribuer au maintien de l’activité.

Au tourisme : le nautisme, la plaisance, la randonnée, notre patrimoine, sont également des moteurs essentiels du développement économique. A nous de mieux valoriser tous ces atouts. Le manoir de Kernault, l’Abbaye St Maurice, la Maison Marie Henry, les trésors patrimoniaux de Quimperlé, mais aussi notre patrimoine naturel. Citons la Laïta et Natura 2000. Une façade maritime exceptionnelle car préservée, des rivières. Avec les cinq municipalités, les deux offices de tourisme de Clohars et Quimperlé, avec les associations de randonnée, de valorisation de nos patrimoines naturels et bâtis et de protection de l’environnement, avec les professionnels du tourisme, hôtels, propriétaires de campings, chambres d’hôtes, il nous faut ensemble construire une stratégie concertée de promotion de notre territoire. Je m’y engage.