A pieds. Avant d'être opérationnel au printemps 2011. Pour les voitures, mais aussi pour les cyclo et les promeneurs.
C'était jeudi. Avec Pierre MAILLE, mes collègues Chantal SIMON-GUILLOU, Roger MELLOUET, Pascale MAHE, Dominique TRETOUT et Francis ESTRABAUD, quelques collègues de l'Alliance, les élus locaux et les "maîtres de l'art", nous avons traversé pour la première fois le nouveau Pont de Térénez.
Un moment inoubliable, magique.
Tant cet ouvrage est vraiment un ouvrage d'art exceptionnel. Dans un site superbe. D'une attractivité touristique majeure. Lien entre la presquîle de Crozon et le continent.
Le chantier, lancé en avril 2007, s’est ainsi terminé ces derniers jours par l’étape symbolique du « clavage central » qui relie désormais les deux morceaux de tabliers construits rive droite et rive gauche. Une étape rendant possible le franchissement de l’Aulne de Rosnoën à Argol.
Le Pont de Térénez, premier pont courbe à haubans de France, constitue donc de par ses formes et ses techniques, un ouvrage d’art remarquable, de classe internationale, unique.
Une construction effectuée selon les principes du développement durable en favorisant notamment l’insertion des personnes en difficulté sociale, en préservant et valorisant un secteur à haute valeur écologique et paysagère.
A travers la réalisation du Pont de Térénez, le Conseil général du Finistère s’est ainsi engagé à concilier développement économique, (ce pont sera notre petit Millau) aménagement du territoire et préservation de l’environnement.
Le Conseil général, en investissant plus de 48 millions d’euros dans ce projet, a également voulu se porter garant de la continuité territoriale.
Autant d’objectifs visant à faire du Finistère, un département « durable ».
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