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09 juin 2010

Commentaires

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Michaël

Stéphane,

Cette expression n'est pas irrespectueuse.
Elle est même très utilisée entre élus, cher collègue

Nicolas

Je dois à la vérité de dire que je n'ai reçu aucune demande de subvention ou de fonds de concours de la part de la Mairie de Quimperlé. Je n'ai, pour l'heure, qu'un décompte des coûts de fonctionnement du local. Le courrier du Maire de Quimperlé ne fait état d'aucune demande à mon égard, mais seulement d'information, ce qui est surprenant.

Mais nous verrons tout ceci en septembre.

Stéphane Guillevin Maire Adjoint

Juste une chose je n'aime que moyennement le "collègue Guillevin"
Nos échanges étaient toujours courtois jusqu'à présent dans l'estime mutuel. un peu de respect donc

Stéphane Guillevin Maire Adjoint

Michael
mes deux réponses ne sont pas opposées. Je précisais juste que rien de plus ne sera demandé au contribuable quimperlois.
Je suis toujours aussi décidé à lutter contre la fermeture des sces publics et en tant que fonctionnaire ma position est claire, mais il faut bien proposer quelque chose à la population.

Michaël

M kerhervé,

J'ai en effet regretté au moment du Conseil municipal la confusion de nos débats et le manque de clarté sur le fonctionnement de ces deux structures.

La réponse du Maire entretenant ce flou.

Celle de votre collègue Guillevin sur Facebook n'apportant pas plus de précision à tout cela.

Heureusement que vous aurez clarifié tout cela par voie de presse. Demain certainement...

J'invite d'ailleurs cette dernière à lire précisémment nos échanges...elle s'y retrouvera certainement mieux que nous.

Décidémment l'opposition ne comprend rien.

Michaël

Stéphane,

Merci pour toutes ces précisions utiles.
Sur Facebook daté du 6 juin ta réponse était la suivante à la même interpellation.

Je laisse le soin à nos lecteurs d'appécier.

« Il est clair qu'on ne peut que regretter le désengagement de l'Etat. Et sur un autre sujet dont je ne peux parler l'Etat ne joue pas son rôle et bien au contraire (voir les efforts que l'on va encore demander aux hopitaux publics). Pour le local Rue Elle le PAD est constitué de deux catégories d'intervenants d'une part les services publics (SPIP, PJJ, conciliateur de justice...) et d'autre part d'associations qui interviennent bénévolement. Le BCU répond à un autre besoin de la population. En effet il apparait clairement que l'administration revet un côté complexe et amène une situation de faiblesse ressentie par les administrés donc ils ont régulièrement besoin d'une aide. L'AADA pourrait apporter cette réponse.
Il est important également que le PAD obtienne une labelllisation et un comité d'évaluation devra se mettre en place. J'y veillerai personnellement »
Dimanche 6 juin Facebook.

Alain KERHERVE

Erreur ou tromperie
Il est faut d'affirmer que l'association AADA va administrer le PAD. Il s'agit uniquement du Bureau de Contact Unique (BCU), structure indépendante du PAD, même si les différentes associations utilisent mutuellement les mêmes locaux.
Tout ceci a été dit au Conseil municipal du 20 mai dernier, mais manifestement vous ne souhaitez pas l'entendre.
Alain KERHERVE
www.quimperle-passion.fr

Stéphane Guillevin Maire Adjoint

Je réponds sur les deux points :
le financement : les services de l'Etat qui interviennent le font à tire gratuit pour rendre un service à la population (PJJ, SPIP, conciliateur de justice,CAF...), les associations interviennent sous la forme du bénévolat (UDAF, CRESUS) hormis AGORA JUSTICE pour lequel une demande de subvention est partie en Préfecture. Les coûts de fonctionnement se limitent donc aux fluides (électricité, chauffage, téléphone) et à l'amortissement et la maintenance des locaux. A ce titre une demande de subvention a été faite auprès de la COCOPAQ qui y répond favorablement.
Pour le fonctionnement : chaque service public ou association intervenant fixera lui-même ses rendez vous. La Mairie apportant une aide logistique et d'orientation pour les personnes souhaitant venir au PAD.
Le BCU, tenu par l'AADA, apporte une aide d'une autre niveau aux usagers. Leur présence dans les locaux permettant éventuellement un rôle d'acceuil et d'orientation.

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