Etre Conseiller général c’est aussi défendre les services publics de son territoire.
L’Etat confronté à ses difficultés financières ne peut pas pour autant rompre avec le pacte de solidarité territoriale national et se désengager de nos territoires en fermant un à un les services publics. Il en va de la cohésion sociale et de l’attractivité de nos territoires. Les restructurations hospitalières en sont le plus parfait exemple. Il faut aujourd’hui être vigilant au maintien 24h/24H de l’ouverture des urgences de notre centre hospitalier. La réforme brutale qui vise à fermer notre Tribunal d’Instance n’est toujours pas acceptable. Le retour des ASSEDIC à Quimperlé est nécessaire. Je m’investirai dans ces dossiers.
L’Etat doit par ailleurs s’acquitter de sa dette envers le Conseil général. Plus de 134 millions d’euros à ce jour. Dus aux transferts de compétences non financés (APA, RMI). Dette qui pèse sur l’ensemble des Finistériens. Ceci n’est pas acceptable.
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